Une poète, en Occident au XXIe siècle, traverse le châtiment – la claustration dans l’inouï – brise miroirs et verrous, entraîne lecteurs et auditeurs dans un envol jubilatoire. « Je suis sortie de ma prison page par page. Voici vivant le livre de mon évasion. »
Rose-Marie François poète, philologue polyglotte, romancière, dramaturge et rhapsode. Auteure d’une quarantaine de livres publiés en Belgique, en France, au Québec, en Allemagne, en Lettonie, en Roumanie, etc. Ses poèmes sont aussi repris dans diverses revues et anthologies (en Arménie, Espagne, États-Unis, Grande-Bretagne, Grèce, Israël, Algérie, Italie, Lettonie, etc.) et traduits dans une douzaine de langues. Elle est l’auteure de la première anthologie bilingue letton-français de poésie lettone (Amay 2002). Elle fut, pendant des années, membre du jury du Premio Napoli, prix littéraire international de la ville de Naples. Formée à la peinture (par Berthe Dubail) et formée au théâtre (par Monique Dorsel, Yves Bical, Geneviève Page,…) elle n’a pas peur de brûler les planches. Elle a également reçu plusieurs prix, entre autres le Prix Charles Plisnier de poésie (Mons 1989), le Prix Louis Guillaume du poème en prose (Paris 1998) et le Prix triennal de la Fédération Wallonie-Bruxelles LRE (Bruxelles 2016) pour Lès Chènes. La Cendre (éd. micRomania).