La maison de la poésie d’Amay est née en 1964 de la rencontre des deux Francis – Chenot et Tessa – poètes qui amorceront leur alliance par la création d’un premier spectacle littéraire. Avant de devenir « Maison de la poésie », cette ASBL s’appela simplement Identités et se fit connaître via la revue Vérités, qui deviendra enfin L’arbre à paroles, appellation qui s’étendra par la suite à l’ensemble des éditions.
À la une
Le Nouvel An Poétique * 18 – Voilà la couleur!
Le samedi 22 mars dès 16h, nous fêterons le dix-huitième Nouvel An Poétique de la Maison de la poésie d'Amay. Un rendez-vous annuel à ne pas manquer! Au programme: lectures, exposition, présentation de la nouvelle maison d'édition et des 6 recueils parus, blind test poétique et micro-ouvert.
Voir les détails »Les éditions l’Arbre à paroles à la Foire du Livre de Bruxelles
Du 13 au 16 mars 2025, les éditions l'Arbre à paroles seront présentes à la Foire du Livre de Bruxelles sur le stand des Éditeurs singuliers. Vous y trouverez toutes nos nouveautés et une sélection de titres de notre fond. Au programme: rencontre et dédicaces.
Voir les détails »Cycles autour du slam
Deux cycles d'ateliers autour du slam animés par Catherine Barsics et M'sieur 13, depuis l'écriture poétique jusqu'à la mise en voix ! Se laisser inspirer par le son pour guider votre écriture, y insuffler de la musicalité, et faire vibrer vos textes... Prendre la parole pour partager vos écrits, déployer leur rythme, et trouver votre voie dans le versant oral de la poésie. Le slam est cet espace bienveillant qui
se crée lorsque des textes personnels sont partagés en groupe, sans musique ni costume.
Nos parutions récentes
Mon corps d’avant raconte ce que l’arrêt momentané du cœur chamboule, perturbe et fait renaître, puisque il est entendu que, passé l’orage, rien ne peut plus être comme avant. Les rythmes complexes du monde, le rapport au temps, aux autres, à l’espoir et à la poésie, rien ne peut plus être comme avant.
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Les Nuits filantes puisent leur substance dans le mélange de deux émotions, la joie sans borne d’une mère observant son premier enfant et une forme de mélancolie qui en serait indissociable.
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Sans lassitude des paysages est né dans le mouvement et le bruit. Les poèmes qui le composent disent l’existence dans sa simplicité, le regard qui fixe les minutes, l’instantané des rencontres, l’exploration du sensible et surtout la tentative d’accès à la joie et à la poésie.
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Timotéo Sergoï a marché trois mois durant, dormi dehors souvent, croisé des sourires et des colères, pris des nouvelles des voisins. Nous sommes tous voisins ici, puisque venus à pied dans ce café, cette forêt ou ce marché. Pourquoi a-t-il marché ces 801 km ?
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