La maison de la poésie d’Amay est née en 1964 de la rencontre des deux Francis – Chenot et Tessa – poètes qui amorceront leur alliance par la création d’un premier spectacle littéraire. Avant de devenir « Maison de la poésie », cette ASBL s’appela simplement Identités et se fit connaître via la revue Vérités, qui deviendra enfin L’arbre à paroles, appellation qui s’étendra par la suite à l’ensemble des éditions.
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Les apéros poéVIE de la Maison #17 – Sans lassitude des jardins
Nous avons le plaisir de vous convier au dix-septième apéro poéVIE de la Maison qui aura lieu le samedi 23 novembre dès 16h en présence des poétesses Ludivine Joinnot et Marie HL. En première partie, vous aurez l'occasion de participer à un atelier d'écriture animé par Ludivine Joinnot. Ensuite, la soirée se poursuivra en lectures et discussions avec Antoine Wauters autour des recueils "jardin" de Marie HL et "Sans lassitude das paysages" de Ludivine Joinnot.
Voir les détails »L’Arbre à paroles aux Fugueurs du livre
Les éditions l'Arbre à paroles seront présentes aux Fugueurs du livre à Liège le samedi 30 novembre et dimanche 1er décembre. Venez découvrir nos nouvelles parutions et rencontrer plusieurs poètes et poétesses en dédicaces.
Voir les détails »EXPO « Les saisons de la colère » de Marilène Greco
La Maison de la poésie d"Amay vous invite à découvrir l'exposition "Les saisons de la colère" de Marilène Greco du 20/10 au 03/11. Vernissage le samedi 19 octobre.
Voir les détails »Nos parutions récentes
Mon corps d’avant raconte ce que l’arrêt momentané du cœur chamboule, perturbe et fait renaître, puisque il est entendu que, passé l’orage, rien ne peut plus être comme avant. Les rythmes complexes du monde, le rapport au temps, aux autres, à l’espoir et à la poésie, rien ne peut plus être comme avant.
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Les Nuits filantes puisent leur substance dans le mélange de deux émotions, la joie sans borne d’une mère observant son premier enfant et une forme de mélancolie qui en serait indissociable.
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Sans lassitude des paysages est né dans le mouvement et le bruit. Les poèmes qui le composent disent l’existence dans sa simplicité, le regard qui fixe les minutes, l’instantané des rencontres, l’exploration du sensible et surtout la tentative d’accès à la joie et à la poésie.
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Timotéo Sergoï a marché trois mois durant, dormi dehors souvent, croisé des sourires et des colères, pris des nouvelles des voisins. Nous sommes tous voisins ici, puisque venus à pied dans ce café, cette forêt ou ce marché. Pourquoi a-t-il marché ces 801 km ?
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