La maison de la poésie d’Amay est née en 1964 de la rencontre des deux Francis – Chenot et Tessa – poètes qui amorceront leur alliance par la création d’un premier spectacle littéraire. Avant de devenir « Maison de la poésie », cette ASBL s’appela simplement Identités et se fit connaître via la revue Vérités, qui deviendra enfin L’arbre à paroles, appellation qui s’étendra par la suite à l’ensemble des éditions.
À la une
Écrire comme on respire en méditant
De janvier à juin (hors congé scolaire), un lundi par mois, cet atelier vous propose de vivre un moment de voyage intérieur à partir de pièces musicales éclairées ou de méditations guidées. Accueillir les sensations et les perceptions présentes pour ensuite les exprimer et les partager en mots et dessins spontanés.
Voir les détails »Céramique – Terre à modeler
L’atelier céramique permet à tout un chacun de développer son sens de la créativité par la découverte de diverses techniques de modelage de l’argile au colombin, par plaque, pitching, dans la masse, engobes et émaux. La recherche et l'expérimentation seront au cœur de notre pratique.
Voir les détails »Cycles autour du slam
Deux cycles d'ateliers autour du slam animés par Catherine Barsics et M'sieur 13, depuis l'écriture poétique jusqu'à la mise en voix ! Se laisser inspirer par le son pour guider votre écriture, y insuffler de la musicalité, et faire vibrer vos textes... Prendre la parole pour partager vos écrits, déployer leur rythme, et trouver votre voie dans le versant oral de la poésie. Le slam est cet espace bienveillant qui
se crée lorsque des textes personnels sont partagés en groupe, sans musique ni costume.
Nos parutions récentes
Mon corps d’avant raconte ce que l’arrêt momentané du cœur chamboule, perturbe et fait renaître, puisque il est entendu que, passé l’orage, rien ne peut plus être comme avant. Les rythmes complexes du monde, le rapport au temps, aux autres, à l’espoir et à la poésie, rien ne peut plus être comme avant.
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Les Nuits filantes puisent leur substance dans le mélange de deux émotions, la joie sans borne d’une mère observant son premier enfant et une forme de mélancolie qui en serait indissociable.
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Sans lassitude des paysages est né dans le mouvement et le bruit. Les poèmes qui le composent disent l’existence dans sa simplicité, le regard qui fixe les minutes, l’instantané des rencontres, l’exploration du sensible et surtout la tentative d’accès à la joie et à la poésie.
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Timotéo Sergoï a marché trois mois durant, dormi dehors souvent, croisé des sourires et des colères, pris des nouvelles des voisins. Nous sommes tous voisins ici, puisque venus à pied dans ce café, cette forêt ou ce marché. Pourquoi a-t-il marché ces 801 km ?
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