La maison de la poésie d’Amay est née en 1964 de la rencontre des deux Francis – Chenot et Tessa – poètes qui amorceront leur alliance par la création d’un premier spectacle littéraire. Avant de devenir « Maison de la poésie », cette ASBL s’appela simplement Identités et se fit connaître via la revue Vérités, qui deviendra enfin L’arbre à paroles, appellation qui s’étendra par la suite à l’ensemble des éditions.
À la une
Céramique – Terre à modeler
L’atelier céramique permet à tout un chacun de développer son sens de la créativité par la découverte de diverses techniques de modelage de l’argile au colombin, par plaque, pitching, dans la masse, engobes et émaux. La recherche et l'expérimentation seront au cœur de notre pratique.
Voir les détails »Les apéros poéVIE de la Maison #20 – On ne s’excuse de rien quand on Désenfantée Déniaisée Déterminée
Le samedi 12 avril, nous vous invitons à notre vingtième apéro poéVIE à la Maison de la poésie d'Amay qui met à l'honneur le recueil "Désenfantée Déniaisée Déterminée" de Cindy Vandermeulen accompagnée du collectif L-Slam (Lisette Lombe, Julie Lombé, Catherine Barsics, M'sieur 13 ...).
Voir les détails »Cycles autour du slam
Deux cycles d'ateliers autour du slam animés par Catherine Barsics et M'sieur 13, depuis l'écriture poétique jusqu'à la mise en voix ! Se laisser inspirer par le son pour guider votre écriture, y insuffler de la musicalité, et faire vibrer vos textes... Prendre la parole pour partager vos écrits, déployer leur rythme, et trouver votre voie dans le versant oral de la poésie. Le slam est cet espace bienveillant qui
se crée lorsque des textes personnels sont partagés en groupe, sans musique ni costume.
Nos parutions récentes
On ne sait ni où va le Train-Nuit, ni d’où il vient. Ce qui se passe dans les différents wagons, on l’ignore aussi. On sait seulement que c’est un train différent de tous les autres, qu’il traverse notre époque et que, à bord du wagon 73, un personnage, en prise avec sa propre folie et celle du monde, note ses pensées, écoute, entend, et nous parle de notre condition d’êtres humains, ici et maintenant. Entre Beckett et Michaux, Aurélien Dony signe un livre retentissant.
Catherine Barsics s’inspire du genre de la BD dans ce second recueil. D’un ton faussement naïf, elle dépeint des scènes de plage en Italie et crée un album rempli d’instantanés. Entre étude comportementale, chronique d’une monotonie ordinaire et esquisse d’une philosophie du grain de sable, elle nous emmène en voyage, mais un double voyage puisqu’une fois que l’été est loin, commence la saison froide, celle de l’écrit. Celle de la page.
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Un jardin et une vie amoureuse évoluent en miroir, au gré de tous les cycles, d’heure en heure, de saison en saison, dessinant un voyage poétique où la lumière et les ombres se confondent.
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Dans un monde suffoquant, Claude Donnay observe le quotidien avec une lucidité teintée d’espoir. Pour reprendre son souffle, le poète va chercher dans les interstices lumineux que les souvenirs ou l’inattendue d’une rencontre ont à lui offrir. À la lisière entre la mélancolie et la joie ordinaire, la poésie de Claude Donnay est comme une banquise, la lumière qu’elle renvoie cache une grande part d’ombre.